- EAN13
- 9782825145388
- ISBN
- 978-2-8251-4538-8
- Éditeur
- Âge d'homme
- Date de publication
- 02/06/2016
- Collection
- CONTEMPORAINS
- Nombre de pages
- 383
- Dimensions
- 21 x 13 x 2,8 cm
- Poids
- 400 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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L'œuvre de Marie-Christine Horn s'inscrit dans la lignée des romans noirs comportant un profond ancrage psychosociologique. " Tout ce qui est rouge " est le premier ouvrage de notre Collection Contemporains noirs.
En mêlant l'univers de l'art brut à un suspense mordant, l'auteure invite sa couleur dans le roman noir. Avec un style cru et vivifiant, le texte cogne au lecteur comme " l'art des fous " cogne à l'histoire de la Suisse. Après la Seconde Guerre mondiale, le peintre Dubuffet découvrit les asiles psychiatriques helvétiques et, avec eux, la première Collection de l'Art Brut – toujours visible au musée du même nom à Lausanne. Il fallait le panache littéraire de Marie-Christine Horn pour à nouveau jubiler avec l'art du singulier. " Hier aux environs de vingt heures, une femme a été retrouvée morte dans les bois d'Echallens. Deux adolescents domiciliés dans la région se promenaient aux abords de la forêt quand leur regard a été attiré par une couleur vive. Il s'est avéré qu'il s'agissait du corps d'une femme dont la tête était coiffée d'une perruque rose. " Cet assassinat et sa morbide mise en scène entraînent les recherches de l'inspecteur Rouzier dans la tourmente de la psychiatrie carcérale. Que cachent les sous-sols de l'hôpital la Redondière et quelle est l'implication de Nicolas Belfond, le responsable de cette lourde unité de soins ?
En mêlant l'univers de l'art brut à un suspense mordant, l'auteure invite sa couleur dans le roman noir. Avec un style cru et vivifiant, le texte cogne au lecteur comme " l'art des fous " cogne à l'histoire de la Suisse. Après la Seconde Guerre mondiale, le peintre Dubuffet découvrit les asiles psychiatriques helvétiques et, avec eux, la première Collection de l'Art Brut – toujours visible au musée du même nom à Lausanne. Il fallait le panache littéraire de Marie-Christine Horn pour à nouveau jubiler avec l'art du singulier. " Hier aux environs de vingt heures, une femme a été retrouvée morte dans les bois d'Echallens. Deux adolescents domiciliés dans la région se promenaient aux abords de la forêt quand leur regard a été attiré par une couleur vive. Il s'est avéré qu'il s'agissait du corps d'une femme dont la tête était coiffée d'une perruque rose. " Cet assassinat et sa morbide mise en scène entraînent les recherches de l'inspecteur Rouzier dans la tourmente de la psychiatrie carcérale. Que cachent les sous-sols de l'hôpital la Redondière et quelle est l'implication de Nicolas Belfond, le responsable de cette lourde unité de soins ?
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