- EAN13
- 9782246814269
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 02/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - Grasset 19,00
Décembre 2016. Trente ans après s’être perdus de vue, deux anciens camarades
d’études se retrouvent à l’occasion d’une émission de télévision. La fille en
noir est écrivain, Guillaume Fronsac un marquis de l’aristocratie d’État
devenu banquier d’affaires.
De 17h à minuit, au cœur d’un Paris hanté par le terrorisme mais où la beauté
de l’histoire française se révèle à chaque pas, ils vont se juger, se jauger,
se confier, se séduire peut-être. À travers la confrontation de leurs
existences, de leurs désirs, de leurs illusions perdues, se dessine le tableau
d’un pays abimé par l’oubli de sa grandeur littéraire, enkysté dans la
décomposition politique et le cynisme de son oligarchie. Comment échapper au
déclinisme et aux ruines mentales de la République des Lettres ? En allant
jusqu’au bout de la nuit.
Écrit d’une plume allègre et brillante qui n’épargne ni les importants du jour
croqués dans des portraits assassins, ni ses propres personnages traités avec
une ironie grinçante, ce roman d’amour et de pouvoir est la pièce du théâtre
de notre époque, dont le rideau final tombe comme une guillotine.
d’études se retrouvent à l’occasion d’une émission de télévision. La fille en
noir est écrivain, Guillaume Fronsac un marquis de l’aristocratie d’État
devenu banquier d’affaires.
De 17h à minuit, au cœur d’un Paris hanté par le terrorisme mais où la beauté
de l’histoire française se révèle à chaque pas, ils vont se juger, se jauger,
se confier, se séduire peut-être. À travers la confrontation de leurs
existences, de leurs désirs, de leurs illusions perdues, se dessine le tableau
d’un pays abimé par l’oubli de sa grandeur littéraire, enkysté dans la
décomposition politique et le cynisme de son oligarchie. Comment échapper au
déclinisme et aux ruines mentales de la République des Lettres ? En allant
jusqu’au bout de la nuit.
Écrit d’une plume allègre et brillante qui n’épargne ni les importants du jour
croqués dans des portraits assassins, ni ses propres personnages traités avec
une ironie grinçante, ce roman d’amour et de pouvoir est la pièce du théâtre
de notre époque, dont le rideau final tombe comme une guillotine.
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