- EAN13
- 9782221138663
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 13/06/2013
- Collection
- Documento
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La Dernière reine
Victoria, 1819-1901
Philippe Alexandre, Béatrix de L'Aulnoit
Robert Laffont
Documento
Le 22 janvier 1901, la reine Victoria mourait et entrait dans la légende. Son
nom symbolise un siècle d'hypocrisie, d'austérité sourcilleuse, de chasteté
puritaine. Cette biographie sans révérence adoucit le mythe d'une Victoria "
victorienne ".
La reine du plus grand empire depuis la Rome antique, la grand-mère de
l'Europe, la souveraine de la révolution industrielle était aussi une femme
sensuelle qui aimait les hommes beaux, les soldats en uniforme, les Écossais
en kilt, les Indiens en turban. Meilleure danseuse du royaume, elle raffolait
des bals qui ne se terminaient qu'à l'aube, elle ajoutait du whisky à son thé,
apprenait l'italien en chantant du bel canto. Son peuple l'appelait la " reine
républicaine ".
Enthousiasmée par les fleurs et les couleurs de la Méditerranée, elle a lancé
la mode de la Côte d'Azur. Passionnée, elle a aimé à la folie son mari, le
prince Albert. Veuve à quarante-deux ans, elle a respecté aveuglément les
principes luthériens de son époux allemand. C'est une Victoria ardente et
violente que font revivre Béatrix de l'Aulnoit et Philippe Alexandre.
nom symbolise un siècle d'hypocrisie, d'austérité sourcilleuse, de chasteté
puritaine. Cette biographie sans révérence adoucit le mythe d'une Victoria "
victorienne ".
La reine du plus grand empire depuis la Rome antique, la grand-mère de
l'Europe, la souveraine de la révolution industrielle était aussi une femme
sensuelle qui aimait les hommes beaux, les soldats en uniforme, les Écossais
en kilt, les Indiens en turban. Meilleure danseuse du royaume, elle raffolait
des bals qui ne se terminaient qu'à l'aube, elle ajoutait du whisky à son thé,
apprenait l'italien en chantant du bel canto. Son peuple l'appelait la " reine
républicaine ".
Enthousiasmée par les fleurs et les couleurs de la Méditerranée, elle a lancé
la mode de la Côte d'Azur. Passionnée, elle a aimé à la folie son mari, le
prince Albert. Veuve à quarante-deux ans, elle a respecté aveuglément les
principes luthériens de son époux allemand. C'est une Victoria ardente et
violente que font revivre Béatrix de l'Aulnoit et Philippe Alexandre.
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