2, L'oeuvre, l'imaginaire, la société, Mythe et création 2, L'oeuvre, l'imaginaire, la société
EAN13
9782915797398
ISBN
978-2-915797-39-8
Éditeur
"Presses universitaires de Savoir"
Date de publication
Collection
Écriture et représentation (n° 6)
Séries
Mythe et création (2)
Nombre de pages
240
Dimensions
23 x 23 cm
Poids
368 g
Langue
français
Langue d'origine
français
Code dewey
800
Fiches UNIMARC
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Fruits dune collaboration entre des chercheurs de lUniversit de Savoie (LLS) et des Facults universitaires Saint-Louis Bruxelles (SIRL), les tudes runies dans ce volume sinscrivent dans le prolongement des travaux publis en 2005 dans Mythe et Cration. Alors que Mythe et Cration abordait la dynamique de limagination cratrice dans ses rapports aux diverses formes de lgalit qui chaque poque structurent et configurent le champ du savoir (le mythe, les genres, les figures, etc.), le prsent volume sattache aux rapports qui se nouent entre luvre, limaginaire et la socit. Il reprend la question des rapports du mythe et de la littrature afin de linscrire dans un horizon plus vaste et de faire apparatre la dimension utopique et lexigence communautaire que toute uvre authentique porte en elle. Aussi, au lieu de sinterroger sur les rapports de luvre littraire la socit (comme si la premire ntait jamais que le produit ou le reflet de la seconde), ne convient-il pas dinterroger en premier lieu le pouvoir instituant de luvre littraire mme le champ social? La littrature ne participe-t-elle pas de faon privilgie ce que Castoriadis appelait linstitution imaginaire de la socit? Ny a-t-il pas alors contradiction entre le pouvoir instituant de lart et de la littrature, leur emprise sur le rel, et le principe de leur autonomie qui les retranche du monde pour les livrer limmanence des formes, au jeu dune finalit sans fin? Si la modernit esthtique depuis Kant dfend le principe de lautonomie de luvre dart, quen est-il des rapports de lesthtique la socit? Sommes-nous condamns couper luvre de tout contexte, de tout rfrent, de toute exprience de vie? Tout se passe alors comme si luvre, captive de ses jeux dchos et de miroirs, navait souci que delle-mme. Inversement, devons-nous sacrifier lautonomie de luvre son statut de fait social?
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