- EAN13
- 9782848656700
- ISBN
- 978-2-84865-670-0
- Éditeur
- Sarbacane
- Date de publication
- 02/09/2013
- Collection
- ALBUMS PETIT FO
- Nombre de pages
- 40
- Dimensions
- 31,2 x 23,2 x 0,4 cm
- Poids
- 298 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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C’est en retournant plusieurs fois à l’école pour rencontrer les lecteurs de mes premiers albums que m’est venu l’idée du Carnaval des dragons. Ce livre rend hommage aux productions des classes en matière d’arts visuels et au formidable travail des enseignants.
Une classe invente un dragon dans la cour de l’école, dans la dynamique d’un grand concours de dragon organisé par la ville de Draguignan. Hélas, le directeur de l’école ne voit pas ce projet d’un très bon œil et demande à la maitresse de démonter le dragon au grand désespoir de la classe, mais la maitresse n’a pas dit son dernier mot.
Utilisant comme décor une ville réelle, ce livre se base sur la célèbre légende du dragon provençal. Cet album a été l’occasion pour moi d’organiser un atelier unique en son genre lors de sa sortie.
Dans la cour de l’école Mireur à Draguignan, représentée dans le livre, avec le soutient de la directrice, nous avons recréé le dragon à la même échelle, puis nous l’avons transporté dans les rues de Draguignan jusqu’au musée municipal, créant ainsi une véritable mise en abîme de l’histoire.
Une classe invente un dragon dans la cour de l’école, dans la dynamique d’un grand concours de dragon organisé par la ville de Draguignan. Hélas, le directeur de l’école ne voit pas ce projet d’un très bon œil et demande à la maitresse de démonter le dragon au grand désespoir de la classe, mais la maitresse n’a pas dit son dernier mot.
Utilisant comme décor une ville réelle, ce livre se base sur la célèbre légende du dragon provençal. Cet album a été l’occasion pour moi d’organiser un atelier unique en son genre lors de sa sortie.
Dans la cour de l’école Mireur à Draguignan, représentée dans le livre, avec le soutient de la directrice, nous avons recréé le dragon à la même échelle, puis nous l’avons transporté dans les rues de Draguignan jusqu’au musée municipal, créant ainsi une véritable mise en abîme de l’histoire.
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