- EAN13
- 9782897123314
- Éditeur
- Mémoire d'encrier
- Date de publication
- 22/09/2015
- Collection
- Roman/Récit
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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La barrière qui se dresse inévitablement entre les locaux et ceux d’origine
étrangère peut-elle tomber? Du moins peut-on jouer à la faire bouger à l’aide
des épices, des parfums et de la poésie. Le très beau roman de Yara El-
Ghadban, en est l’illustration. – Marie-Andrée Lamontagne, Radio Ville-Marie
Sa force est son écriture. Ses références olfactives sont très bien
présentées. Un livre très agréable. – Ogden Ridjanovic, Radio-Canada/Plus on
est de fous, plus on lit Une sensuelle histoire d’exil, d’amour fantôme et de
création en marge du conflit palestinien. Yara El-Ghadban signe un roman
organique, sensuel et gourmand. – Christian Desmeules, Le Devoir Dans ce récit
de l’exil, parfums et poésie sont ces petites résistances qui s’imposent, ils
sont ce qui pallie aux diverses fractures. C’est avec sensualité et lyrisme
que Yara El-Ghadban nous offre ce texte aux voix multiples qui dénoncent les
frontières; terrestres, politiques et fictionnelles. Un texte où les espoirs
sont des voies à explorer vers la liberté. – Marie-Ève Blais, Libraire Un
passeport qui dépasse les antagonismes géopolitiques actuels et donne accès à
un univers empreint de sensualité. – Justine Souque, ActuaLitté La vie de
cette musicienne et écrivaine d’origine palestinienne est un long parcours de
migration et son nouveau roman nous catapulte à Londres où elle a vécu. Le
parfum de Nour est un chemin fait d’odeurs, de poésie, de déchirures et de
tendresse, qui nous transporte de l’Europe à Gaza, mais finalement beaucoup
plus loin encore. – Les Libraires Une mention spéciale pour l’écrivaine,
anthropologue et musicienne d’origine palestinienne Yara El-Ghadban, qui signe
avec Le parfum de Nour un roman de l’exil. – Danielle Laurin, Le Devoir Le
parfum indomptable d’anis, de sauge et de romarin, qui court le long du
couloir, réveillant les légendes, la révolte et l’espoir. Véritable ode aux
odeurs, à leur puissance, à leur pouvoir, Le parfum de Nour est porté par la
plume de Yara El-Ghadban. – Caroline Paquettte, Collections Entre les vers du
poète Mahmoud Darwich et le parfum des herbes qui leur rappelle une contrée
perdue, trois personnages évoluent à Londres, sous le toit d’un même immeuble,
unis par cette « terre lacérée » qu’est la Palestine. – Laila Maalouf, La
Presse
étrangère peut-elle tomber? Du moins peut-on jouer à la faire bouger à l’aide
des épices, des parfums et de la poésie. Le très beau roman de Yara El-
Ghadban, en est l’illustration. – Marie-Andrée Lamontagne, Radio Ville-Marie
Sa force est son écriture. Ses références olfactives sont très bien
présentées. Un livre très agréable. – Ogden Ridjanovic, Radio-Canada/Plus on
est de fous, plus on lit Une sensuelle histoire d’exil, d’amour fantôme et de
création en marge du conflit palestinien. Yara El-Ghadban signe un roman
organique, sensuel et gourmand. – Christian Desmeules, Le Devoir Dans ce récit
de l’exil, parfums et poésie sont ces petites résistances qui s’imposent, ils
sont ce qui pallie aux diverses fractures. C’est avec sensualité et lyrisme
que Yara El-Ghadban nous offre ce texte aux voix multiples qui dénoncent les
frontières; terrestres, politiques et fictionnelles. Un texte où les espoirs
sont des voies à explorer vers la liberté. – Marie-Ève Blais, Libraire Un
passeport qui dépasse les antagonismes géopolitiques actuels et donne accès à
un univers empreint de sensualité. – Justine Souque, ActuaLitté La vie de
cette musicienne et écrivaine d’origine palestinienne est un long parcours de
migration et son nouveau roman nous catapulte à Londres où elle a vécu. Le
parfum de Nour est un chemin fait d’odeurs, de poésie, de déchirures et de
tendresse, qui nous transporte de l’Europe à Gaza, mais finalement beaucoup
plus loin encore. – Les Libraires Une mention spéciale pour l’écrivaine,
anthropologue et musicienne d’origine palestinienne Yara El-Ghadban, qui signe
avec Le parfum de Nour un roman de l’exil. – Danielle Laurin, Le Devoir Le
parfum indomptable d’anis, de sauge et de romarin, qui court le long du
couloir, réveillant les légendes, la révolte et l’espoir. Véritable ode aux
odeurs, à leur puissance, à leur pouvoir, Le parfum de Nour est porté par la
plume de Yara El-Ghadban. – Caroline Paquettte, Collections Entre les vers du
poète Mahmoud Darwich et le parfum des herbes qui leur rappelle une contrée
perdue, trois personnages évoluent à Londres, sous le toit d’un même immeuble,
unis par cette « terre lacérée » qu’est la Palestine. – Laila Maalouf, La
Presse
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