Eté, quelque part, des cadavres
EAN13
9782491290283
Éditeur
Matin calme
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Eté, quelque part, des cadavres

Matin calme

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L'ado qui se levait tard, sa Mémé et Apollon :
Trio d'enquête pour quatre disparitions
LE LIVRE : Ce matin-là, Musun – la narratrice – a été réveillée par le
réfrigérateur. Parce qu'il n'y avait pas d'autres bruits dans la maison. À 11
heures ? Étrange. Elle s'est levée et atrouvé ce petit mot dans la cuisine,
avec quelques billets : " Ma chérie, nous te laissons dormir. Occupe-toi bien
de Mémé. On revient dans un mois. Ton Papa qui t'aime. " Toute la famille
était rentrée à Séoul en l'abandonnant avec Mémé ! L'horreur ! Dans ce trou
perdu où les smartphones ignoraient internet ! Avec cette grand-mère qui
sarclait son champ dès cinq heures du matin... Un cauchemar...
La cohabitation avec Mémé débute mal. Jusqu'au troisième jour, quand Musun
retrouve un dessin qu'elle a fait 15 ans plus tôt, quand elle avait cinq ans :
une carte au trésor ! Et quand elle montre le dessin à Mémé, la vieille
marmonne... " Ah... ça... Tu te souviens pas ?... C'était l'été... le jour où
les quatre jeunes femmes ont disparu... "
C'est alors que l'enquête commence vraiment, avec dès le lendemain le renfort
de l'héritier des Yu, quatorze ans, dont la fabuleuse beauté a immédiatement
inspiré à Musun son surnom : Apollon.

Roman noir, roman plein de drôlerie, construit sur un trio improbable et tour
à tour émouvant ou comique. Été, quelque part, des cadavres est, à l'image de
son titre, un roman policier totalement unique en son genre. Pas ou peu de
policiers en uniformes, pas de scènes d'actions violentes, mais les
pérégrinations de ces trois anti-héros dans un bourg perdu d'une Corée archi-
rurale.
Le ton général du roman en constitue le premier atout. C'est un livre
réjouissant, joyeux et tendre, un véritable succès d'écriture.
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